Il est 22h et 54 minutes. Je guette par ma fenĂȘtre et je n'appercois rien, tout est sombre et rien n'est visible.đ
L'absence de sommeil dans mes yeux me donne envie de lire ma belle sĂ©rie intitulĂ©e "JOB", mais la fatigue m'empĂȘche de le faire. Je dĂ©cide donc de lire la belle histoire malheureusement le sommeil m'annonce son arrivĂ©e, du coup je laisse tomber la lecture et je prends mon tĂ©lĂ©phone.
En tant que bonne pentecÎtiste, je dirais que c'est le plan du Diable pour ne pas méditer. Je ne saurais confirmer cela tout en sachant que lorsque je suis fatiguée je suis incapable de cerner ce que je lis.
Une fois un jeune m'a "quand je n'arrive pas Ă dormir je lis un livre". Je retiens de cette affirmation que le livre Ă un moment donnĂ© peut ĂȘtre considĂ©rer comme "une berceuse ".
Me voici donc, incapable de continuer avec ma lecture, j'ai quand mĂȘme assez d'Ă©nergie pour raconter des charabias. Qu'est ce qui peut expliquer cela? Question rhĂ©torique.
Bon rendons cette séance d'écriture en racontant quelque chose d'intéressant! J'ai mentionné ma série préférée actuelle n'est ce pas !?
"JOB"
Job est un homme coolđ, il mĂšne une vie tranquille et pieuse, il marche selon les voies du crĂ©ateur et exĂ©cute toutes ses recommandations. Cependant, il y'a njo qu'on appelle Satan... Le gars reste dans son coin et est wanda par la vie de Job.
One day Satan dit à God que Job n'est pas un super homme, que il sert bien parcequ'il est riche, il n'a pas de problÚmes dans sa vie. Dieu lui impossible ! Le gars décide de parier avec Papa God sur le fait que si il perd tout ses bien, il va le renier et se détourner de ses voies.
Dieu accepte le dĂ©fis et il dĂ©pouille Job, dĂ©sormais le gars est pauvre, il perd ses biens, il perd son hĂ©ritage, il perd mĂȘme ses enfants. Comme si cela ne suffisait pas, Dieu le rend malade jusqu'Ă fait pourrir sa peau.đą
Voyant sa situation, ses amis qui le connaissaient trĂšs bien, lui ont dit de maudire Dieu et de mourir. Le gars a refusĂ©, il leur fait comprendre qu'il connait le Dieu qu'il sert et il sais que sa situation est une mise Ă l'Ă©preuve. Ses amis se sont Ă©nervĂ©s et lui demande si il pense ĂȘtre superieur Ă eux, ou qu'il est il diffĂ©rent pour que Dieu le mette Ă l'Ă©preuve ainsi.
Ils ont passĂ© leur temps Ă insulter Job, Ă le dĂ©courager, Ă se moquer de lui, chacun venait et disait ce qu'il avait dit. Ce qui ma frappĂ© ici est que, bien qu'il soit malade, Job ne se laissait pas faire. Il rĂ©pondait Ă chacune des rĂ©pliques de ses bourreaux morauxđ§
Quand je pensais que Job allait laisser tomber, c'est alors que j'ai compris qu'il avait du parler. Il connaissait vraiment son Dieu et il se connaissait lui-mĂȘme. Quelqu'un(e) d'autre aurait cĂ©der aux conseils sans suivre la voix de Dieu. Je me suis arrĂȘtĂ©e Ă ce niveau ce matin. Demain je continue avec l'Ă©pisode 33 demain. Je ne sais pas si je parlerai de la suite et fin de Job ici. Mais je t'invite Ă prendre ta bible et de la lire.
Tu y découvriras de trÚs belles histoires.
Judith Dongmo
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